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EPTB Gardons

L’EPTB Gardons propose un nouveau programme de visites formations destiné aux élus du Comité syndical et aux membres de la CLE des Gardons. Chacune d’elles abordera un thème en lien avec nos missions (inondation, ressource en eau, milieux aquatiques, gouvernance). Le 12 juin dernier, les élus et membres de la CLE ont été invités à participer au 1er volet d’une formation en deux parties, consacrée à la problématique des toxiques miniers sur notre territoire.

Un passé minier riche, des incidences toujours actuelles

Le bassin versant des Gardons a un historique minier pluriel et complexe : mines de charbon (La Grand’Combe, Alès) mais également mines de métaux (Nord d’Alès, les Cévennes, le secteur d’Anduze). Les anciennes mines et leurs résidus sont des sources potentielles, parfois avérées, de pollution des eaux de surface par les métaux : arsenic et plomb en particulier. Plusieurs sites miniers du bassin versant ont connu des pollutions accidentelles et des tensions fortes avec les riverains. Certains sites ont fait et font encore l’objet de travaux de confinement et de traitement qui permettent de limiter le transfert de pollution vers les milieux.

Une première matinée sur le secteur de Salindres

Cette première visite-formation sur le thème des toxiques miniers concernait le secteur de Salindres et de Rousson. Les participants ont pu visiter plusieurs sites de résidus miniers gérés aujourd’hui par l’entreprise Rio Tinto, un groupe minier et métallurgique qui
opère à l’échelle internationale. Les différents travaux déjà réalisés ou à venir, pour contenir et traiter les matériaux potentiellement polluants, nous ont été présentés par l’industriel.

Des élus et membres de la CLE devant la station d'épuration de Ségoussac
Régis Nayrolles, chargé de mission Qualité des eaux à l'EPTB Gardons, accompagnait la visite
Les participants ont été répartis en deux groupes pour faciliter les échanges
Le bassin de Ségoussac et sa station d'épuration

De la fin du 19e siècle jusqu’aux années 1980, la société Pechiney a produit de l’alumine à partir de bauxite, sur la commune de Rousson. Une partie des résidus de cette exploitation a été stockée sous la forme de boues rouges, dans une retenue créée à cet effet, le bassin de Ségoussac. Celui-ci couvre près de 30 ha et permet l’accumulation de plusieurs millions de tonnes de résidus miniers, sur quelques 30 mètres de hauteur.

Visite du bassin de boues rouges de Ségoussac avec Rio Tinto
Déversoir du bassin supérieur en cas de montée des eaux

Lorsqu’il pleut, le bassin se remplit d’eau. Une partie de celle-ci s’infiltre à travers la couche de boues rouges. Avant 2015, ces eaux de percolation étaient conduites pour traitement jusqu’à la plateforme de Salindres. Depuis, elles sont traitées sur place à la station d’épuration construite à proximité. Celle-ci nous a été présentée par l’entreprise Veolia qui en a la charge.

La station d'épuration du bassin de Ségoussac est en service depuis 2015
La station assure le traitement des eaux de percolation du bassin de boues rouges
Les différentes étapes du traitement ont été présentées aux participants
Les travaux de confinement en cours sur la plateforme chimique de Salindres

La plateforme chimique de Salindres, aujourd’hui propriété du groupe Solvay, couvre une surface d’environ 110 hectares. L’entreprise Pechiney y a produit de l’aluminium jusqu’en 1984. Une parcelle de 29 ha a été conservée par Pechiney Bâtiment (Rio Tinto). Elle a servi de dépôt de résidus de bauxite et de gypse jusqu’en 1995. Rio Tinto réalise actuellement des travaux de confinement des résidus miniers toujours présents sur la parcelle. L’industriel nous a présenté les différentes étapes du projet à l’aide d’une maquette 3D.

La plateforme chimique de Salindres abrite un ancien site industriel de Pechiney, aujourd'hui géré par Rio Tinto.
des travaux sont menés afin de confiner les résidus miniers issus de cette activité. Une maquette 3D permet d'illustrer les différentes phases du projet.

EPTB Gardons

Certains cours d’eau de notre bassin versant ont vu leur débit augmenter grâce aux précipitations survenues courant septembre, mais la situation reste préoccupante, notamment sur la zone Gardon aval. Météo France prévoit par ailleurs un maintien de températures supérieures à la normale au cours des prochains jours sur notre territoire.

C’est pourquoi la préfecture de la Lozère a décidé de ramener le niveau de limitation des usages de l’eau au niveau « alerte » sur la partie lozérienne de notre bassin versant. Dans le Gard, la zone Gardon amont est redescendue en « alerte renforcée » mais la zone Gardon aval est maintenue au niveau « crise »

EPTB Gardons

Cette année, les digues et barrages gérés par l’EPTB Gardons ont été classés « réseaux sensibles », un classement initialement créé pour protéger les réseaux « dangereux » comme ceux du gaz et de l’électricité. L’objectif est de préserver ces ouvrages en cas de travaux qui pourraient endommager leurs structures.

Le dispositif est simple : les gestionnaires de « réseaux sensibles » déclarent leurs installations sur un site web national (INERIS), qui doit obligatoirement être consulté par les entreprises conduisant des travaux. Ces derniers connaissent ainsi l’emplacement exact des infrastructures classées, évitant de les endommager, par exemple lorsqu’une pelleteuse creuse une tranchée.

Le classement en réseau sensible des digues et des barrages permet de s’assurer que les travaux engagés ne compromettent pas la sécurité des ouvrages et donc la protection qu’ils apportent vis-à-vis du risque d’inondation (Photo : travaux sur la digue d’Anduze)

Par le passé, il est arrivé que des travaux soient menés en méconnaissant la nature d’un ouvrage hydraulique, conduisant à y créer des brèches ou des points de fragilité sans que le gestionnaire de l’ouvrage n’en soit informé, mettant ainsi en danger les biens et les personnes en cas d’inondation. La procédure « ouvrage classé sensible » permet d’éviter ce genre de situation.

Vue sur la digue d'Anduze
Interaction entre le réseau sensible que constitue la digue d’Anduze et des réseaux électriques et d’eau potable

EPTB Gardons

Le dimanche 24 septembre, la mairie de Comps en partenariat avec l’EPTB Gardons a réalisé un exercice de pose de deux batardeaux sur la digue de protection du village contre les inondations. L’ensemble des élus, les membres de la réserve communale de sauvegarde et les agents des services techniques ont été mobilisés pour participer à cette opération.

les élus, les membres de la réserve communale de sauvegarde et les agents des services techniques ont été mobilisés
Les deux batardeaux prolongent la digue communale au niveau du franchissement routier

Cet exercice est réalisé tous les 2 ans. Il permet aux agents des services techniques de s’entrainer à la manipulation et à la mise en œuvre des différents éléments constituant les batardeaux. C’est également l’occasion de vérifier que le dispositif est en bon état et qu’il reste opérationnel en toutes circonstances.

Ces deux batardeaux permettent de prolonger la digue communale là où elle a été abaissée pour faciliter le franchissement routier. Ils contribuent à la protection du village contre les crues du Rhône et du Gardon. 

EPTB Gardons

Avec la fin de l’été et l’entrée progressive dans l’automne, démarrent les travaux de gestion de la végétation sur les cours d’eau de notre bassin versant. C’est en effet, la période la plus propice pour causer le moins d’impact à l’écosystème dans son ensemble (la faune et la flore). Les travaux sont de deux types : restauration forestière et entretien des atterrissements.

Des travaux sur les atterrissements dans 30 communes

En septembre 2023 démarre une campagne de traitement des atterrissements (îlots de graviers) sur les Gardons principaux : les cours d’eaux concernés sont notamment le Gardon d’Alès à la Grand-Combe, aux Salles-du-Gardon et à Cendras. 

Dans la traversée d’Alès, les atterrissements sont débroussaillés et scarifiés annuellement au mois de juillet. La période d’intervention sur ce secteur a été avancée pour tenir compte de la présence d’ambroisie, plante très allergisante, qu’il est préférable de détruire avant sa floraison. L’écopaturage mis en place par la Ville d’Alès devrait, nous l’espérons, apporter une solution très intéressante au développement de ce végétal invasif et pénalisant pour les personnes sensibles.

D’importants travaux auront lieu sur le Gardon au niveau du méandre de Ners et se poursuivront vers l’aval jusqu’à Brignon puis Saint-Chaptes et Dions. L’objectif est favoriser des écoulements diversifiés dans le lit moyen (que le lit de la rivière soit moins chenalisé) et la mobilité des matériaux à l’amont de secteurs du Gardon en fort déficit.

Plusieurs autres sites sont concernés sur le bassin versant : sur le Troubadour (Saint-Hippolyte-de-Caton, Euzet), sur l’Allarenque à Lédignan, sur le Gardon de Saint-Jean dans la traversée de Saint-Jean-du-Gard et enfin sous le pont de Montfrin sur le Bas-Gardon.

Les travaux sont estimés à environ 200 000 € (hors prestations annexes) et concernent au total 30 communes. Ils ont été confiés aux entreprises Environnement Bois Énergie, Marron TP et Philip Frères.

Opération de scarification sur un atterrissement
Travaux sur un atterrissement à Cendras

Une restauration forestière sur 120 km de cours d'eau

Ce type de travaux vise à limiter le risque inondation, en maintenant un lit mineur dégagé qui permet de limiter les débordements, tout en assurant la diversification des types et des âges du peuplement forestier.

Cette année, la campagne de travaux forestiers sur les berges est découpée  en 5 secteurs : 

  • le Bourdic à l’amont de Bourdic
  • des petits cours d’eau de la Gardonnenque : sous bassin de la Braune et de la Droude en particulier
  • l’Alzon, les Seynes et des cours d’eau du Bas Gardon
  • des affluents du Gardon d’Alès ainsi que de l’Avène
  • des affluents du Gardon d’Anduze : Salindrenque et Gardon de Sainte-Croix en particulier

Au total, ce sont près de 120 km de cours d’eau qui sont concernés, sur 57 communes, pour un montant prévisionnel de 387 600 €. Ces travaux ont été confiés aux entreprises PHILIP Frères, PIT – FARE et Environnement Bois Energie.

L'entretien des cours d'eau par l'équipe verte de l'EPTB Gardons
Restauration forestière sur un petit cours d'eau (travaux de l'équipe verte de l'EPTB)
Travaux de désembaclement (entreprise prestataire)

EPTB Gardons

Pour la 2ème année consécutive, l’EPTB Gardons a eu le plaisir de participer au Festival de l’Eau Emergences, qui s’est tenu à Aramon du 8 au 10 septembre dernier. Initié en 2022, en lien avec la commémoration des inondations de 2002 qui avaient frappé la ville, cet évènement festif et convivial alterne concerts, animations et débats sur la thématique de l’eau.

Tout au long de la journée du dimanche 10 septembre, l’EPTB Gardons a proposé diverses activités au public venu d’ici et d’ailleurs… et en nombre une nouvelle fois !

Visite des digues d'aramon
Table ronde sur le Planet
Visite naturaliste de la zone humide des Paluns

Le risque inondation sous tous les angles : une balade au coeur d’Aramon

Au travers d’une dizaine de points d’arrêt, Etienne Retailleau nous a délivré les clés de compréhension des paysages rencontrés. Même les sites les plus banals regorgent d’histoires intéressantes.

Il a été question de la gestion des cours d’eau, des digues de protection, de la réglementation de l’urbanisme, de la gestion de crise et du développement de la conscience du risque au sein de la population. Tout au long d’une balade de 3 km, les participants ont pu échanger avec le directeur adjoint de l’EPTB Gardons et tester leurs connaissances sur les actions que chaque citoyen peut être amené à mettre œuvre en cas de crue.

Une balade sur le risque inondation spécialement conçue pour répondre aux interrogations des habitants du territoire

A la découverte de la vie des Paluns : une heure de promenade écologique commentée

L’EPTB Gardons s’est associé cette année au Conservatoire des Espaces Naturels (CEN) d’Occitanie pour proposer une balade naturaliste, donnant la part belle aux 5 sens !  A travers une animation d’une heure, les participants sont partis à la découverte de la faune et de la flore d’un site naturel aux portes d’Aramon : la zone humide des Paluns.

Jean-Philippe Reygrobellet est en charge du projet de restauration de la zone humide des Paluns à l'EPTB Gardons
La balade était accompagnée par un naturaliste passionné du CEN Occitanie
Une promenade interactive à la découverte de la faune et de la flore des Paluns. Mais quel est cet oiseau là-bas ?
Aller à la rencontre de la nature autrement, en utilisant ses 5 sens

Aussi loin qu’on s’en souvienne, cette zone humide a été modelée par l’action de l’homme, qui a du composer entre sécheresse estivale et submersion lors des fortes pluies d’automne. Ces contraintes ont forgé un lieu chargé d’histoire, mais également une mosaïque de milieux naturels au très fort potentiel écologique.

L’EPTB Gardons et la mairie d’Aramon travaillent ensemble, depuis plusieurs années, à la restauration de la zone humide des Paluns. Au delà de l’enjeu écologique, ce projet vise à réduire localement le risque inondation en augmentant la capacité de stockage des eaux de pluie de la zone.

Chants méditerranéens : un concert aux Paluns

L’EPTB Gardons a aussi eu le plaisir d’offrir une expérience musicale inédite au public présent sur la zone humide des Paluns : la rencontre de Damien Toumi et Maura Guerrera, deux chanteurs méditerranéens inspirés par l’eau !

Ils nous ont invités à « un voyage à dos de fleuve, où résonne l’écho archaïque du tambour des peuples, battement de cœur-boussole qui rythme et accompagne les turbulentes aventures de l’odyssée humaine ».

Maura Guerrera et Damien Toumi, la rencontre de 2 chanteurs méditerranéens
L'écho des tambours nous a aussi fait danser !
le public est venu nombreux aux Paluns pour les entendre
Lionel Georges, directeur de l'EPTB Gardons, en compagnie de François Abbou, Vice-Président de notre syndicat de rivière

Entre Rhône et Gardons : une table ronde sur les inondations, la ressource en eau et le changement climatique

Cette table ronde a mis l’accent sur les relations étroites entre le Rhône et le Gardon, que ce soit en crue comme en période sèche. La crue de décembre 2003 sur le Rhône aval et son impact sur la basse vallée du Gardon a ainsi été évoquée. L’évolution de l’hydrologie en lien avec le changement climatique a également été au cœur des discussions.

Avec Sébastien CHAZOT (chargé de projet à BRL Ingénierie), Lionel GEORGES (directeur de l’EPTB Gardons), Thibaut MALLET (directeur général du SYMADREM, la collectivité en charge de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations sur le territoire du grand delta du Rhône) et Etienne RETAILLEAU (directeur adjoint de l’EPTB Gardons). Les échanges étaient animés par Michel Flandrin, journaliste.

En continuité de leur concert de la matinée, Maura Guerrera et Damien Toumi nous ont offert une très belle introduction musicale à la table ronde.
Lionel Georges, Sébastien Chazot et Etienne Retailleau (au micro)
L'introduction musicale de Damien Toumi et Maura Guerrera
La table ronde était organisée sur le Planet, au coeur d'Aramon
M. François Abbou, Vice-Président de l'EPTB Gardons, a participé aux débats

Les actions portées par l’EPTB Gardons dans le cadre du Festival de l’eau Émergences ont reçu le soutien financier de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse (70 %) et de la Région Occitanie (10%).

Quelques images de plus...

EPTB Gardons

Dans le Gard, le Comité de la Ressource en Eau (CRE) du 13 septembre a mis en évidence une situation très préoccupante sur la plupart des bassins versants gardois : les cours d’eau secondaires sont majoritairement à sec, les cours d’eau principaux connaissent des débits extrêmement faibles et certaines nappes d’eau souterraine atteignent des niveaux jamais connus.

Sur notre bassin versant, le débit du Gardon mesuré à la Baume le 7 septembre (1,08 m3/s) est le plus faible jamais enregistré sur ce site .

La Préfecture du Gard a de ce fait décidé d’augmenter le niveau de restriction des usages de l’eau sur l’ensemble de notre bassin versant, en le plaçant au niveau « crise ».

La partie lozérienne de notre bassin versant est  quant à elle placée au niveau « alerte renforcée » depuis le 25 août, une réflexion sur le passage en crise est en cours.

Pour en savoir plus...

Suis-je concerné par des restrictions d'eau ?

 Vérifier sur VigiEau

EPTB Gardons

Dans le cadre de ses missions pour la gestion de la ressource en eau ainsi que la préservation et la reconquête des milieux naturels, l’EPTB Gardons propose deux stages pour des étudiants BAC + 5 en 2024 :

L’objectif de ce stage est le renouvellement du label « Site Rivière Sauvage » du cours d’eau le Galeizon ainsi que l’étude d’une éventuelle extension de son périmètre. Il vise à porter et rédiger le dossier de renouvellement, avec l’appui du technicien de rivière référent du territoire.

Durée et dates du stage : 6 mois, de février/mars à juillet/août 2024

Lieu du stage : Cendras

Profil / compétences : BAC +5

  • Connaissance des hydrosystèmes et de la gestion de l’eau à l’échelle d’un bassin versant
  • Connaissance sur le fonctionnement des cours d’eau, et de la biodiversité associée
  • Connaissance des politiques publiques en environnement
  • Capacité à mener des inventaires de terrain en autonomie
  • Très bonne maîtrise des outils informatiques bureautique (Word – Excel) et SIG (QGis) indispensables
  • Contact aisé, bonne capacité d’écoute et aptitude en rédaction et communication
  • Autonomie, motivation et capacité à travailler en équipe
Les candidatures sont à transmettre avant le mardi 2 novembre 2023 à 15h

Télécharger l’annonce complète
 

L’objectif de ce stage est de produire des synthèses à l’échelle du bassin versant sur les problématiques suivantes :

  • macro-pollution (carbone organique, oxygène et températures)
  • nutriments (N et P)
  • pesticides ;
  • micropolluants organiques (HAP, PCB, polluants émergents …)
  • micropolluants métalliques
  • indicateurs biologiques (IBG, IBD, IBMR, IPR,…)
  • synthèse des pressions à l’échelle du bassin versant (sur la base des fiches « masse d’eau »  / volet SIG important)

Durée et dates du stage : 5 à 6 mois, de février/mars à juillet/août 2024

Lieu du stage : Nîmes

Profil / compétences : BAC + 5

  • Formation en environnement avec spécialisation milieux aquatiques continentaux et/ou gestion de données sur l’eau (connaissances en chimie des eaux, gestion quantitative, connaissance des institutions et des démarches de planification dans le domaine de l’eau)
  • Compétences en gestion et analyse de données, rédaction, méthode de conduite d’étude, organisation, rigueur, autonomie dans le travail, esprit de synthèse
  • Très bonne maîtrise des outils informatiques bureautique (Word – Excel) et SIG (QGis) indispensables
  • Connaissances en statistiques
  • Compétences et intérêt pour la programmation (le langage R sera utilisé pendant le stage)
Les candidatures sont à transmettre avant le mardi 2 novembre 2023 à 15h

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